Cette décision émane de la direction de la police et des principales organisations, syndicats et coalitions du secteur du transport routier.
Les premiers axes à avoir été déterminés et interdits à ces transports communs sont premièrement:
- La circulation sur les trois ponts du district (Le pont Felix Houphouët-Boigny; Le pont Henri Konan Bédié et De Gaulle);
-Les boulevards Valery Giscard d’Estaing (Vge), Mitterrand (route de Bingerville), de Gaulle, des Martyrs et Latrille.
Ainsi en ont décidé la Direction générale de la police nationale et les principales organisations du secteur du transport routier au terme de plusieurs rencontres dans le cadre de la fluidité de la circulation dans le district d’Abidjan.
Selon le Directeur général de la police nationale, ces axes seront incessamment soumis aux maires impliqués pour la prise d’Arrêtés municipaux. C’est après que les mesures d’interdiction de leur exploitation par ces types de véhicules devront entrer en vigueur.
Ces propositions ont rencontré l’assentiment des organisations présentes dans leur ensemble, à l’exception d’un défenseur des taxis banalisés qui a indiqué disposer des documents attestant la régularité de leur activité.
Ce dernier, qui n’a pu convaincre les participants à la réunion, a été invité à présenter ces documents au préfet de police. Les organisations présentes ont manifesté leur souhait de voir une fois pour toute la disparition de ces véhicules banalisés dans le transport.
Pour Touré Adama, président de la Coordination nationale des gares routières de Côte d’Ivoire, l’activité des taxis compteurs est régie par une loi votée par l’Assemblée nationale qu’aucun autre texte ne saurait remettre en cause. Dans tous les cas, a-t-il indiqué, « nous attendons de pieds fermes qu’on nous présente d’autres textes ». D’autre part, « les véhicules pratiquant l’interurbain par Grand-Bassam, devront limiter leur embarquements et débarquements aux seules gares de Bassam à Treichville et Adjamé », a-t-il suggéré.
L’interpellation fait suite à l’exploitation d’une information anonyme selon laquelle ces dames se sont rendues complices d’un cybercriminel au fait de recevoir de ce dernier, par SMS, des codes de transaction et ce, en vue de retirer des fonds. La contrepartie de ce concours frauduleux serait qu’elles prendraient 10% et expédieraient le reliquat au cybercriminel via orange money.
Après interrogatoire, les nommées WAMIEN AHOU CHANTAL ET OULOBO AHOU AHOU VERONIQUE ont reconnu sans ambage avoir rencontré un certain nommé GYPY ainsi que les faits qui leur sont reprochés.
De l’acte délictueux, elles ont avoué avoir retiré quatre (04) mandats Western-Union d’un montant total de 1 225 207 FCFA. De cette somme, elles ont également fait l’aveu d’avoir pris 106 000 FCFA et expédié le reste au cybercriminel par orange money.
Le gouvernement du Niger, pays en grande majorité musulman, interdit la diffusion de Charlie Hebdo et "condamne avec véhémence" la caricature de Mahomet en Une du dernier numéro de l'hebdomadaire satirique français, annonce jeudi un communiqué officiel.
"Le gouvernement dénonce et condamne avec véhémence la caricature du prophète Mahomet, paix et salut à lui, contenue dans le numéro de Charlie hebdo du mercredi 14 janvier 2015, qu'il considère comme une provocation injurieuse et totalement inacceptable", affirme le communiqué lu à la radio et la télévision d'Etat.
"Aussi, sur instruction du président de la République, le gouvernement a-t-il décidé d'interdire la publication et la vente de ce numéro sur l'ensemble du territoire national", précise ce texte lu par Marou Amadou, le ministre de la Justice et porte-parole du gouvernement.
Rappelons que le président du Niger, Mahamadou Issoufou, fait partie des six chefs d'Etat africains qui ont participé à la Marche républicaine le 11 janvier à Paris, au lendemain de l'attaque terroriste contre la rédaction de Charlie hebdo. "Sa participation" à la marche "procède de son engagement contre le terrorisme et pour la liberté" et "ne signifie nullement un quelconque soutien aux dérives qui peuvent découler d'une certaine conception de la liberté de presse", a expliqué Marou Amadou.
Publié le Vendredi 14 Janvier 2015
Côte d'Ivoire/Exclusif- Le maire de Cocody rase la maison d'Alpha Blondy!
Le studio d'enregistrement du chanteur ivoirien Alpha Blondy, annexe de sa maison d'Abidjan, a été démoli dans le cadre d'une campagne de lutte contre les inondations, a constaté mercredi l'AFP.
Si le corps de la maison, près duquel flotte le drapeau national orange-blanc-vert, n'a pas été touché, le studio d'enregistrement du musicien, pionnier du reggae africain, a été réduit à un amas de gravats par une pelleteuse, a constaté un journaliste de l'AFP.
L'opération de démolition, démarrée mardi dans le quartier chic de Cocody-Riviera à Abidjan, s'est déroulée dans le calme, en présence de trois policiers qui gardaient les entrées.
L’immense bâtisse circulaire baptisée "la Cour supraime" (BIEN suprAIme), coiffée d'un dôme où trône un Cupidon tirant vers le ciel, avait été accusée l'été dernier de provoquer des inondations parce qu'elle débordait sur un canal d'écoulement des eaux, qu'elle obstruait.
"Une annexe de sa maison se trouve dans le domaine public", a expliqué à l'AFP un responsable du ministère ivoirien de la Construction, insistant sur le fait que seule "une partie" de l'édifice avait été détruite.
Un grand ouvrage d'assainissement sera "très prochainement" construit et passera devant la maison d'Alpha Blondy, a poursuivi le responsable.
Le chanteur, dont le ministère a salué "la collaboration", n'était pas joignable.
Les pluies diluviennes qui s'étaient abattues en juin et juillet 2014 sur la Côte d'Ivoire ont tué 39 personnes, principalement à Abidjan, où des bidonvilles côtoient par endroits des gratte-ciel, illustration d'une crise du logement.
Le quartier où habite Alpha Blondy avait été le théâtre d'une inondation spectaculaire, emportant des dizaines de voitures. De nombreuses habitations et un important supermarché s'étaient retrouvés sous les eaux.
Glissements de terrains et inondations ont fait des ravages dans les quartiers dits "précaires", où une importante population s'est établie, faute de mieux, sur des terrains non constructibles parce que dangereux.
Publié le Jeudi 15 Janvier 2015
COTE D'IVOIRE/ GEBEDOL: Voici le médicament qui aurait tué 4 personnes au CHU de Treichville
Depuis le début de la semaine du 12 janvier 2014, un message a fait le tour des téléphones portables en Côte d’ivoire. Selon les informations, un médicament nommé GEBEDOL serait la cause de plusieurs morts à Abidjan.
Le message dit ceci: "Ne buvez plus le comprimé nommé GEBEDOL, il a déjà fait plus de 4 morts et de nombreux malades au chu de Treichville. Merci de faire passer l'info pour sauver des vies. Je viens de recevoir donc j'envoi."
Concernant les quatre morts du Centre Hospitalier Universitaire de Treichville évoqués dans le message, nous n'avons pas pu avoir confirmation de ses informations. Toutefois par mesure de prudence, nous vous conseillons d'éviter l'utilisation de ses comprimés.
C'est l'occasion de rappeler à la population que la consommation de médicaments de la rue est nocive pour la santé. S'il est vrai que le prix de ces médicaments, pratiqué au "gazon", est trois fois inférieur au prix du même produit dans une pharmacie, il est important pour tous d'acheter la qualité.
Malheureusement la vente de ces dits médicaments est une triste réalité en Côte d'Ivoire. A ce propos, même si les malades, guidés par la pauvreté, convergent vers ces pharmacies ambulantes, on se demande alors comment ces produits arrivent sur le sol ivoirien sans un contrôle préalable.
Il faut toutefois rappeler que le médicament nommé GEBEDOL n'est pas en vente en pharmacie.
Publié le Jeudi 15 Janvier 2015
Pénurie de maris : La Chine promet une importation massive de célibataires au Sénégal
Toujours très active dans le développement du Sénégal, la Chine a pris la décision d'investir humainement dans le pays en proposant de répondre à la crise qui touche de plus en plus de femmes au Sénégal : le manque d'époux. Pour cela, le pays promet d'importer d'ici 2016 plus de 10 000 hommes chinois célibataires entre 25 et 40 ans.
Publié le Mardi 30 Décembre 2014
COTE D'IVOIRE/ Scandale au concours de l'ENA: 23 personnes déclarés admis sans avoir composé !
La proclamation, par l’ENA, le 23 décembre 2014, des résultats d’admissibilité aux concours professionnels a fait apparaître des cas de fraudes.
En effet, de sources bien introduites au Cabinet du Ministère, 23 personnes ont été déclarées admissibles à ces concours sans avoir composé.
Par la même occasion, le Ministère a diligenté une enquête conduite par l’Inspection Générale, afin d’élucider cette situation et de situer les responsabilités.
Publié le Vendredi 26 Décembre 2014