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ACCIDENT DE LA CIRCULATION... TRISTE
Port-Bouët / De retour d'un anniversaire : De jeunes gens et leur véhicule rentrent dans un camion ; plusieurs morts dont des filles ; l'identité de toutes les victimes
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Un effroyable accident de la route s'est produit très tôt le matin du dimanche 11 janvier 2015, sur le boulevard Valéry Giscard d'Estaing, à quelques mètres du rond point « Akwaba ».
Retour sur une sanglante matinée. A en croire nos sources, tout commence dans la journée du samedi 10 janvier 2015. Le nommé Camara Lamine dit « Gouverneur Lamté » 23 ans, célèbre son anniversaire. Et il veut le faire avec faste. A cet effet, il invite son ami sûr. A savoir, Kouakou Auguste dit « Ouvrier des sous », 24 ans. Lui, à son tour, fait appel à Konan Bolé Jean, 27 ans, qui vit avec lui. C'est son « bon petit », comme on le dit vulgairement. Dans sa « valise », il met également son cousin Kangah Yao Frédéric, 24 ans aussi, venu lui rendre visite. Il veut qu'il participe à la fête à ses côtés. Et comme en général, ce genre de cérémonie est illuminée par une présence féminine, Camara Lamine dit « Gouverneur Lamté » et Kouakou Auguste alias « Ouvrier des sous » invitent deux de leurs amies. Ce sont Zorou Lou Gounan Fabienne, une étudiante de 24 ans, et Dia Sié Victoire, qui elle est une élève de 18 ans et domiciliée à Koumassi (Cité Douane). Ils conviennent ensuite de se rendre dans la ville balnéaire de Grand-Bassam. Tous les six embarquent alors dans une rutilante voiture de marque Bmw, de couleur noire et immatriculée 5018 GC 01. Et c'est « Ouvrier des sous » qui prend le volant pour une virée qu'ils veulent sans modération. Plus tard dans la soirée, ils sont de retour à Abidjan. Mais la fête n'est pour autant pas terminée. Ils vont plutôt poursuivre le show à Marcory, commune qui abrite également des lieux de joie aguichants pour de jeunes gens comme eux. L'anniversaire se poursuit là-bas jusqu'au dimanche matin du 11 janvier 2015. Enfin exténués, ils remontent dans leur véhicule. Direction, Port-Bouët, commune d'habitation de nombre d'entre eux. Cette fois, pour un « somme » bien mérité. Malheureusement, c'est pendant ce retour, que le destin de ces pauvres jeunes gens décide que, plus jamais personne d’entre eux ne célébrera son anniversaire. De fait, il revient des informations en notre possession, que sur le boulevard Valéry Giscard d'Estaing, à quelques mètres du rond point « Akwaba », à l'entame de la commune de Port-Bouët, Kouakou Auguste, sans doute épuisé par la soirée de folie, perd subitement le contrôle du véhicule. Celui-ci quitte sa trajectoire à toute vitesse et va violemment s'encastrer contre un énorme camion, stationné à hauteur de la station-service « Oilybia ». L'horreur est là. Camara Lamine dit « Gouverneur Lamté » et Kouakou Auguste alias « Ouvrier des sous », connus dans leur quartier pour, dit-on, être des « brouteurs », sont tués sur le coup. Ce triste sort, ils le partagent avec Konan Bolé Jean et les deux jeunes filles. A savoir, Zorou Trazié Lou Gounan Fabienne et Dia Sié Victoire. Il y a un seul rescapé, incroyablement miraculé(...) |
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pour ceux qui veulent voir la vidéo de ce drame n’hésitez pas mais âmes sensibles, s'abstenir ...
Affair de voler blanc...
Un an après son forfait, le cybercriminel mis aux arrêts par la PLCC
- Publié le 11 octobre 2013 à 11:39
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Le cyberdélinquant utilisait entre autres pour ces sales besognes, les fausses adresses électroniques suivantes : daniella19821@hotmail.fr christelle19821@hotmail.fr
Boom à ECOBANK
Laurence do Rego, celle par qui le scandale arrive !
Publié le 11 Octobre 2013
La décision d'écarter Laurence do Rego, la puissante directrice chargée de la finance et du risque chez Ecobank a entraîné une réaction en chaîne, qui a plongé le groupe panafricain dans la tourmente.
Fin juin à Lomé, le malaise était déjà perceptible. Lors de l'assemblée générale d'Ecobank - qui marquait également le 25e anniversaire du groupe -, Laurence do Rego, puissante administratrice exécutive et directrice finance et risque, était en retrait, contrairement aux habitudes. En coulisses, son sort avait été scellé quelques jours plus tôt, le 19 juin, par les administrateurs. Thierry Tanoh avait obtenu d'eux l'autorisation de la révoquer pour nommer le directeur financier de son choix. Et quelques semaines plus tard, le 5 août, elle était suspendue.
Diplôme manquant
Une décision motivée, officiellement, par la découverte qu'elle n'avait pas le diplôme d'expert-comptable certifié dont elle se prévalait. Absence confirmée depuis par un courrier du ministère français de l'Enseignement supérieur et de la Recherche daté du 28 août.
Au cours du conseil d'administration du 5 août, qui a mené à sa suspension, ses compétences ont été partiellement remises en question à la suite de rapports effectués quelques mois plus tôt par les autorités bancaires de l'Union monétaire ouest-africaine (Umoa) et du Nigeria. Des critiques qui ont surpris les familiers de cette Franco-Béninoise de 48 ans dont la réputation était jusqu'à récemment bonne, plusieurs financiers l'ayant côtoyée la qualifiant de bonne professionnelle.
"Ekpe girl"
En réalité, Laurence do Rego paie aussi son statut d'"Ekpe girl". "Elle était vue par Thierry Tanoh comme trop proche d'Arnold Ekpe. Il était logique qu'il veuille s'en séparer et nommer à sa place le directeur financier de son choix, car c'est un poste très sensible", souligne un dirigeant de la banque.
Dans la lettre qu'elle a adressée à l'autorité des marchés du Nigeria après sa suspension, Laurence Do Rego met en cause la méthode du directeur général, parlant de "pressions psychologiques" et de "dénigrement". Thierry Tanoh ne s'attendait pas à une telle résistance. Il aurait dû se méfier : femme à la poignée de main ferme, Laurence do Rego était réputée pour son caractère de battante. "J'ai donné onze années de ma vie à cette institution... C'est vous qui allez partir", a-t-elle ainsi lancé au directeur général lorsque celui-ci lui a demandé de démissionner. 
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Obsèques du Colonel Mamadou Koné Mamadou: Koné Zakaria chassé à l’inhumation.
- Publié le 8 octobre 2013
Séguélon- Selon des informations transmises par nos confrères de l'informateur, Koné Zakaria et son épouse Touré Djénéba, maire de Séguélon ont été écartés, le vendredi 04 octobre dernier, des funérailles du colonel des douanes koné Mamadou.
Les parents du défunt et une partie de la foule n’ont pas souhaité la présence de ce couple à l’enterrement. Ils accusent Koné Zakaria d’être pour quelque chose dans la mort du colonel Mamadou Koné. Selon les informations rapportées, leur soupçon, tire sa source d’un prêche qu’aurait tenu le marabout de Koné Zakaria lors du Maouloud à la mosquée de Séguélon où ce dernier annonçait la mort de ses adversaires. Pour les accusateurs du commandant en second du Batailon d'artillerie Sol-Air (BASA), ce marabout aurait dû être rappelé à l’ordre pour des propos déplacés en public.
Malheureusement, rien n’y fit. Et les jours qui précédèrent, voient s’abattre des malheurs sur des cadres de la commune. « Tous ceux qui se sont opposés politiquement à Koné Zakaria où à son épouse sont mort de manière inexpliquée», lance un homme mécontent parmi la foule. Ce dernier citera entre autre, le cas de Doumbia Alassane décédé juste après les dernières municipalités à Séguélon, et celui du Commandant Amdallah Koné, membre des renseignements généraux, qui lui aussi avait trépassé brusquement. Les indiscrétions rapportent que ce dernier était perçu comme un cadre gênant en termes de leadership par le camp Zakaria. Quant au cas du colonel Koné Mamadou, l’on rapporte que ce dernier était l’objet de dénigrements à la veille des joutes municipales de 2013. Conclusion du jugement populaire : sa mort ne saurait être naturelle.
L'archevêque de Korhogo frappe un fidèle, les présidents des conseils paroissiaux exigent son départ
- Publié le 8 octobre 2013
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Les sept présidents des conseils paroissiaux du diocèse de Korhogo se sont retrouvés le dimanche 06 octobre 2013 pour exiger le départ définitif de l'archevêque métropolitain Marie Daniel Dadiet du diocèse de Korhogo a indiqué Soro Baba Samuel catéchiste à la paroisse Saint Louis du quartier Tegueré. Une marche de procession est même prévue le 13 octobre prochain
Il est reproché à l'évêque sa dictature au sein du diocèse et de chasser les prêtres qui font du développement dans leurs paroisses. Celui de Tioro est une de ses victimes. Il a été chassé par l'évêque parce qu'il a procédé à la construction de la paroisse de la localité. Le dernier à faire les frais est le prêtre de la paroisse st Louis du quartier Tegueré de Korhogo à qui l'évêque reproche de procéder à l'agrandissement de la paroisse. L'évêque s'est battu aussi avec un fidèle. En effet suite à l'affectation du prêtre de la paroisse de Tioro Bernard Roche pendant qu'il se trouvait en congé, les fidèles chrétiens ont cherché à savoir les motifs de ce départ insolite. Au cours des échanges l'évêque a porté main au catéchiste de la paroisse. « Trop c'est trop, nous ne voulons plus de lui à la tête de notre diocèse » ont averti les présidents des conseils paroissiaux.